Vendredi 22 05 09 - C'est le Far-West, yepeee, 17° jour en Argentine

Publié le par Francois-Bhavsar

 

 



Aaaargh, le vieux westerner va poser pour moi :
c'est un vrai Far-west que cet endroit, 
moi qui adore les westerns,
yepeeeeeeeeeeeee.

 





Si c'est pas du Western... qu'on me pende haut et court et c'est un connaisseur qui vous cause.





Le cochon est livré avec.






Le vieux bandit part revêtir ses plus beaux habits.
Je suis (un peu) emmerdé,
le cow-boy a, visiblement, cassé sa tirelire pour acheter des étriers  neufs, et autres fanfreluches.

Mais, bon, moi, là, j'suis bien, au milieu de ce milieu fossilisé,
et terminer mon tableau est ...

Regardez cette photo qui suit,
c'est du Lucky Luke dans le texte.
Y'a même les os de vaches en 1° plan.





Là, je sors le revolver six coups,
j'ai l'impression d'être le peintre Remington,

qui faisait poser chevaux, indiens, cow-boys et le tout en mayonnaise,
dont les amerloques sont friands.
On les comprend.
Moi, aussi, j'aime.




Je le croque pendant qu'il prépare son canasson,
rien à voir avec la monte anglaise ou française.



 
 


Enfin, le gaucho apparaît en habit de lumière,
et il va poser 2 heures sans moufter, attentif à ce que je termine mon tableau.

 


Bon, c'est bien gentil tout ce blabla, mais quid du tableau?

 

Ben oui, quid?


Quid :

  Le gaucho  gouache  70X100  mai 2009



Bon, c'est pas que je m'emmerde mais j'ai mon cheval à seller.
Salut les canassons.

 

 

 


Frédéric Remington 

 

Frédéric Remington occupe une place très particulière, non seulement dans l’art, mais dans l’histoire de l’Amérique. Sa production entièrement dédiée au thème de l’Ouest et le succès phénoménal de sa carrière d’illustrateur le placent en marge de l’histoire de l’art classique, mais son importance est telle, dans la construction d’un des grands mythes fondateurs de la civilisation américaine, que les jugements de valeur habituels ne semblent pas pouvoir s’appliquer à lui.

Théodore Roosevelt, président des États-Unis et autre acteur essentiel de cette histoire, auteur du monumental La Conquête de l’Ouest (The Winning of the West), écrit en 1907 dans un hommage à l’artiste publié par le Pearson’s Magazine : « Je considère Frederic Remington comme l’un des Américains qui ont accompli un réel travail pour ce pays, et nous lui devons tous notre gratitude. (…) Il est, bien sûr, l’un de nos artistes les plus typiquement américains, il a représenté un mode de vie américain très caractéristique et pourtant en voie de disparition. Le soldat, le cow-boy et le fermier, l’Indien, les chevaux et les troupeaux des plaines vivront éternellement, j’en suis sûr, dans ses peintures et ses sculptures. »


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