Vendredi, samedi 30-31 01 09 "...Un peintre a grand-raison de se préoccuper de la finesse, mais il doit y joindre la force..."
Vire au cabestan Huile sur toile 100X100 2005-6
Belle toile appartenant à V. que j'ai reshooté jeudi.
"...Un peintre a grand-raison de se préoccuper de la finesse, mais il doit y joindre la force, qui ne l'exclue pas, tant s'en faut. Toute la peinture est dans le dessin fort et fin à la fois. Elle n'est que là, quoi qu'on en dise, dans un dessin ferme, fier, caractérisé, même s'il s'agit d'un tableau qui doit impressionner par sa grâce..."
JD Ingres
VENDREDI 30 01 09
Vendredi matin, le big boss des bosquets est là.
Quatre heures de peinture par -2° ;
je maintiens sous l'aisselle le pinceau fin auquel je tiens,
pour qu'il ne gèle pas.
Eh ouais.
Le danseur d'arbres.
L'atelier du gland (hum).
Arbre 5 - Forêt de Sénart. Acrylique sur toile 169X60 2009
Autoportrait en yéti des feuilles mortes.
L'après-midi à l'atelier, j'avance ma Nature morte au potiron.
Il n'est plus orange,
il devient vert,
beurck.
Fin d'aprem, à la mairie de Crosne, belle séance de boulot avec Bernard :
Avec l'ami Bernard.
Pour un projet qui tourne autour de ça :
Jeff, Bill, et Rudyard.
Voilà un truc que je vais pouvoir commencer
ces jours-ci.
Et le soir, dîner bien poilant chez Eugène et Anne.
Eugène, pas enfant de coeur, trouve que j'ai dit des horreurs,
bon, peut-être,
mais s'il faut cul-serrer chez les bon potes...
Et quelques mouches à l'ami O.
pour m'avoir vanné.
SAMEDI 31 01 09
Le matin, atelier dans le jardin :
je travaille les doubles châssis pour mes "arbres debouts - arbres de Sénart"
Arborescence brutale dans le jardin.
Cela pour préparer l'expo d'Yerres :
je voudrais 4 à 5 doubles châssis disposés autour d'une toile au sol représentant un des trous d'eau de la forêt. Mes autres tableaux seront accrochés classiquement aux murs.
Les affiches prévues.
L'après-midi, à l'atelier toujours la nature morte au potiron, sauf que le potiron,
ben, il est dans la poubelle.
En cours
Bon, un oeil éxercé vous dit la différence de boulot entre les deux poivrons :
l'un quasi définitif est travaillé à l'huile (celui du dernier plan),
l'autre, à l'état d'ébauche, attend une prochaine séance.
Même difference entre l'argenterie du fond et celles des côtés.
Bon, c'est pas que je m'emmerde mais j'ai un éléphant rose sous mes fenêtres.
Salut et vidons nos verres.