Jeudi 31 07 2008 (26-27 07 08)

Publié le par Francois-Bhavsar

 


Un rêve héroïque et brutal


ça dépote l'été chaud, mettez les vieux à l'abri,
que les spécialistes du bon coeur nous fasses pas chier à retardement,
ouais bon.

Je me fait 2 vols d'essai avec les gerfauts sortis du charnier natal ( merci Momo ) :


 


















1er : Faucon et fauconnier  Lavis  65X65  Juillet 2008

 ça pue encore la photo, faut que j'm'améliore
- même si y'a 3 photos différentes resaucées Bibi
-vous s'en foutez.


J'ai réussi mon coup pour le lien entre l'animal et l'homme







2ème : Faucon et lièvre  Encre  65X65  juillet 2008


Là - vol d'essai hors du charnier natal 2  
- y'a progrès -
la doc est plus survolée.
Dernier tour de vis demain.



Accessoirement est bossé à l'atelier sur le tableau en cours, une paire d'heures.



 

A propos de tour,
hé, hé, hé,
les mains dans les poches sanguines, les piqués pédalent pour 2 jours encore.

Oh, j'les aime, surtout Jaja, Laurent mon amour, vraiment.
un sportif à la tète bien faite et le verbe clair.


Donc rétropédalage  26-27 07 2008



Le course contre la montre du 26 :

 




Le tour de france  encre  21X30  26 07 08




La dernière étape, l'occasion de débonder.
Rigolade, farces et attrapes, champagne :










Un dessin souvenir :



Et à Paris tous serrent les fesses en rêvant de victoire flamboyante, hon, hon.


Le Tour de France  Encre  21X30  juillet 2008


Yeap, les mecs,
finis ,
juillet aux frondaisons montagnardes ,
le Tour des forçats humains, 
( poil aux mains )
mais comme on est rendu au 27,
dans mon rétropédalage s'entend 
-  putain y'en a qui suivent, merde -
j'me complais à remater ce soir là :



Frais comme des gardons sortis du ru, les garçons
- ça, ça fait remarque de mijaurée à la coule ; en mieux.
Boaaf.


Et pour une dernière sortie d'essai hors du, gn
a, gna, gna :

Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal,
fatigués de porter leurs misères hautaines,
De Palos de Moguer, routiers et capitaines
Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal.

Ils allaient conquérir le fabuleux métal
que Cipango mûrit dans ses mines lointaines,
Et les vents alizés inclinaient leurs antennes
Aux bords mystérieux du monde occidental.

Chaque soir, espérant des lendemains épiques,
L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques
Enchantait leur sommeil d'un mirage doré ;

Ou, penchés à l'avant des blanches caravelles,
Ils regardaient monter en un ciel ignoré
Du fond de l'Océan des étoiles nouvelles.

Les conquérants.
Heredia.

Bon, c'est pas que j'emmerde mais j'ai un gerfaut sur le feu.

Salut les rapaces de bacs à sable
.

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