L'aquarelle du jour ou le temps qu'il fait - 18 et 19 juillet 2020
A Pierre-Perthuis, (150 habitants), où j'ai passé le week-end, et qui est à six kilomètres de Vézelay, il y a deux ponts remarquables. Je les ai tout naturellement peint à l'aquarelle, assis sur le bord de la Cure.
Outre que ce coin charmant répond parfaitement à la première strophe du "Dormeur du val" de Rimbaud (mais ce même coin peut être envahi de canoés-kawaks, de randonneurs, de scouts, etc...) :
"C’est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons...",
il est aussi le théâtre de deux scènes à la fin du film "La grande vadrouille" lorsque Bourville et Louis de Funes, quittant l’hôtel déguisés en soldats allemands, tentent de passer la ligne de démarcation avec deux chiens bergers.
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